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Epures ASBL, observatoire indépendant de l'Environnement en Brabant wallon, s'est lancé dans l'aventure concrète et complexe d'un projet d'agroforesterie.

C'est réellement intéressant, tant par l'essence même du projet que par les perspectives qu'il pourrait apporter.

 

     
 

Travailler sans pesticide est possible pour une commune.

Mais cela nécessite la sensibilisation et la collaboration.

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Claudia Bouxain, vous êtes éco-conseillère à . Vous êtes une des chevilles ouvrières de la Semaine sans pesticide à . Dans le cadre de votre travail, vous rencontrez régulièrement vos collègues d'autres communes.

Quel est généralement la position qu'ils défendent à l'égard des pesticides?
Idéalement, comme tout éco-conseiller, une « tolérance zéro » vis-à-vis des pesticides. Toutefois, en administration publique, nous devons faire face à de vieux réflexes dans le cadre de la gestion des espaces publics.

L'utilisation des pesticides est-elle une préoccupation au sein de leur commune ?
Oui, elle en est une dans la mesure où des rémanences de ces produits ont des effets néfastes et même dévastateurs sur toute la chaîne trophique (1) et sur la qualité des éléments indispensables à la vie (air, eau, sol). J'ignore cependant ce que chacune des communes réalise. Certaines, toutefois, ont acquis une certaine expérience et peuvent faire par de leur expertise.

A , qu'est-il fait à cet égard?

Nous projetons l'élaboration d'un de gestion différenciée des espaces publics. Pour réussir, cela nécessite la sensibilisation et la collaboration de toute une série d'acteurs, y compris des ouvriers communaux qui sont évidemment des acteurs importants dans le changement des comportements.

(1) Voilà ce que l'on pourrait appeler les effets catas-trophiques des pesticides.
 

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